L’entreprise d’électricité espère réduire le phénomène de mauvaise facturation dans le cadre de la troisième phase des initiatives à résultats rapides.
Les plaintes des abonnés d’Eneo sont légion. Les solutions paraissent comme des effets d’annonce. Eneo souhaite y remédier. Une des approches pour y arriver, c’est le programme des initiatives à résultats rapides (IRR). L’idée fait suite à une suggestion de la Commission nationale anti-corruption (Conac) dans sa campagne de lutte contre la corruption au sein des institutions.
Vendredi dernier, dans son agence de Nlongkak à Yaoundé, Eneo a engagé la troisième phase de ce programme. En 100 jours, l’entreprise espère réduire de 90% le nombre de mauvaises factures, de plaintes pour mauvaises factures, factures non distribuées, réclamations non traitées, coupures abusives et remises tardives. Si la responsabilité des entreprises de sous-traitance a été pointée du doigt par les agents, le représentant du ministre de l’Eau et de l’Energie a aussitôt rappelé que la responsabilité incombe directement à Eneo.
Le choix du site de Nlongkak n’est pas anodin...
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