Des responsables d’administrations publiques, parapubliques et privées ont été imprégnés aux défis de cette règle hier à Yaoundé.
«La chèvre broute là où elle est attachée ». « Le chef et la hiérarchie sont sacrés ». « Le travail du Blanc ne finit jamais ». Ce sont des échantillons de ce qui se passe dans les entreprises au Cameroun. Ces paradigmes doivent être brisés. A cet effet, des responsables d’administrations publiques, parapubliques et privées sont réunis depuis hier à Yaoundé.
Une initiative de l’agence des normes et de la qualité (Anor) pour informer ce public sur les contours de la norme internationale ISO 37001, applicable aux systèmes de management anti-corruption. Le prétexte, c’est un environnement dans lequel le phénomène persiste.
Dans son indice de perception de la corruption en 2017 par exemple, Transparency International classait le Cameroun à la 145e place sur 176, alors qu’en 2016, le pays occupait la 130e place. Une tendance à inverser, à en croire Charles Booto à Ngon, directeur général de l’Anor.
Pour lui, l’objectif de ce séminaire était de procurer les outils et les méthodes permettant de mettre en place le système de management anti-corruption ISO 37001 dans ces administrations. Publiée en octobre 2016, cette norme définit les exigences et fournit des préconisations pour é...
Cet article complet est réservé aux abonnés
Déjà abonné ? Identifiez-vous >
Accédez en illimité à Cameroon Tribune Digital à partir de 26250 FCFA
Je M'abonne1 minute suffit pour vous abonner à Cameroon Tribune Digital !
- Votre numéro spécial cameroon-tribune en version numérique
- Des encarts
- Des appels d'offres exclusives
- D'avant-première (accès 24h avant la publication)
- Des éditions consultables sur tous supports (smartphone, tablettes, PC)
Commentaires