Grâce aux efforts multiformes des pouvoirs publics, les populations vaquent désormais sereinement à leurs activités.
«En quittant Douala pour venir prendre part aux jeux universitaires de Maroua, j’avais peur. Mais au fil des jours, ma crainte s’est dissipée et je constate que les populations vaquent normalement à leurs occupations ». Propos d’un encadreur des athlètes venu de Douala.
La réalité est que depuis le début de 2017, la vie a repris son cours normal, non seulement dans la ville de Maroua, mais dans toute la région de l’Extrême-Nord. Sans être officiellement levées, les mesures restrictives des libertés de circulation à une certaine heure de la soirée ne sont plus très strictes.
On se rappelle encore que les incursions répétées des Boko Haram avaient créé la panique au sein des populations. Certaines, par milliers, avaient même fui leurs terroirs pour aller chercher refuge dans les localités plus sécurisées. Depuis un peu plus de six mois, ces populations sont en train de regagner progressivement ces villages qu’elles avaient abandonnés.
Pour ce qui est de l’activité économique, depuis le desserrement, en novembre 2016, d’une bonne partie des frontières avec le...
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