Grace aux actions civilo-militaires, la relation armée-populations s’est davantage renforcée pendant la guerre contre la secte Boko Haram.
«Même si par définition, nos forces armées ont pour mission prioritaire d’assurer la paix et de défendre l’intégrité territoriale de notre pays, elles n’en participent pas moins à la création de conditions favorables à son développement ».
Cette déclaration du président de la République, chef des Armées, Paul Biya à l’occasion du cinquantenaire de l’armée en 2010 à Bamenda explique mieux le concept armée-nation. Et la guerre contre la secte terroriste Boko Haram a davantage mis en relief cette fusion parfaite entre l’armée et les populations.
Dans leur déploiement dans les localités affectées par les attaques et les incursions des djihadistes, les vaillants soldats de notre armée se sont montrés proches et soucieux des souffrances qu’endurent les populations.
Ainsi, au-delà de ses missions régaliennes, l’armée dans ses différentes composantes, a beaucoup œuvré pour ga...
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