L’Office des étrangers de Bruxelles a lancé une campagne d’information sur les conséquences des séjours irréguliers.
Etre proactif. C’était le but visé par l’Office des étrangers de Bruxelles, à travers sa séance d’informations sur l’immigration clandestine, le 15 mars à l’Institut français du Cameroun, antenne de Douala. Une session qui, comme l’a rappelé Vincent Bodson, consul du Royaume de Belgique au Cameroun, s’adressait en général à toutes les personnes souhaitant migrer Outre-Quiévrain, mais de façon particulière, aux étudiants. Ceci dans le cadre d’une campagne d’information et de prévention lancée dans plusieurs pays par cet Office, service fédéral belge chargé de la gestion de la population immigrée et dépendant du ministère de l’Intérieur.
Proactif, c’est le terme utilisé par Marlies Elebaut, fonctionnaire à l’immigration à l’Office, qui a reconnu que le problème d’immigration clandestine des Camerounais « n’est pas grave », même s’il est « très difficile de donner des statistiques correctes » sur le phénomène. Les chiffres disponibles sont plutôt ceux des arrestations des Camerounais en situation irrégulière : autour de 200 individus en 2018. Toutefois, la présence du service fédéral belge au Cameroun se justifie par un fait : « On s’est aperçus qu’il y a beaucoup d’étudiants qui utilisent des documents frauduleux, ce qui montre le désir de vouloir entrer ou rester de façon irrégulière en Belgique. Et nous aimerions les prévenir des conséquences », a expliqué Dame Elebaut.
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