Pluies : comment préserver les routes

L’eau cause des dégradations face auxquelles des actions ponctuelles sont menées.

Rond-point place des fêtes de Douala, vallée de la Besseke. Il y a peu, des nids-de-poule y sont apparus. Le fait n’a pas spécialement attiré l’attention. Puis ces petits trous se sont élargis, à la faveur des premières pluies qui s’abattent depuis quelque temps sur la capitale économique. Résultat, des embouteillages aux heures de pointe qui éprouvent la patience des usagers. « Ce n’est pas normal que sur un axe aussi stratégique, on laisse une telle situation perdurer. La circulation y est intense avec les gros porteurs et autres camions qui passent un temps important à cause de ces nids-de-poule, causant un préjudice en terme économique », se désole un habitué du tronçon. Les taximen, eux, sont devenus philosophes et se sont accommodés de la situation, ce qui n’empêche pas les coups de gueule des passagers, entre résignation et découragement.
Non loin du rond-point Deïdo, un autre nid-de-poule préoccupe les agents de la police en charge de la circulation. Il leur faut au quotidien beaucoup de tact et de retenue, face à l’impatience et à l’incivisme des chauffeurs. Résultat là aussi, de fréquents embouteillages qui font du passage obligé qu’est le rond-point Deïdo, un cauchemar pour les usagers de la route, notamment ceux en partance pour Bonabéri, l’Ouest, le Nord-Ouest et le Sud-Ouest du pays. Et ce ne sont que deux exemples parmi ceux qu’on enregistre à Douala.
A la Communauté urbaine et dans les communes d’arrondissement, les responsables ne sont pas indifférents à cette situation qui les préoccupe aussi. Reste que dans le cas d’espèce, les besoins sont immenses et les moyens pou...

Reactions

Commentaires

    List is empty.

Laissez un Commentaire

De la meme catégorie