Hôpital gynéco-obstégrique : des armes contre l’AVC

Des personnels formés, du 18 au 19 février, à la prévention des complications neurologiques, des troubles cognitifs, du langage etc.

Le pire après un accident vasculaire cérébral (Avc), c’est le décès. Mais pour les survivants, il existe de possibles complications neurologiques, des troubles cognitifs, du langage, urinaire et la paralysie partielle ou totale. Pour une meilleure prise en charge des patients ayant survécu à pareille attaque, l’Hôpital gynéco-obstétrique et pédiatrique de Douala (Hgoped) a renforcé les capacités, de son personnel médical et paramédical du 18 au 19 février 2021. Au total, 30 professionnels issus de cette formation sanitaire. Auxquels il faut ajouter des médecins d’autres hôpitaux.
Pour le Dr Eric Bila Lamou, neurologue à l’Hgoped, il s’agissait de former sur la prévention des complications neurologiques post-Avc.
Selon le praticien, l’Avc est la deuxième cause de mortalité dans le monde, et la première cause de handicaps moteurs acquis, et de troubles neurologiques importants. « Nous nous sommes rendu compte que dans nos formations sanitaires, nous n’avons pas encore de filières de prise en charge. Le problème de prise en charge des complications post-Avc est accru. Il est donc question de former les personnels aux formes aiguës. En prenant en charge de façon efficace, on peut améliorer les conditions du patient », explique le médecin.
La première journée a notamment consisté en un rappel épidémiologi...

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