Bambou et rotin : de nouveaux filons à rentabiliser

La question est au cœur du 1er congrès international de ce secteur ouvert hier à Yaoundé par le ministre d’Etat Bello Bouba Maïgari, représentant le Premier ministre.

Il s’est ouvert hier à Yaoundé, le congrès africain sur le bambou et le rotin.  La cérémonie d’ouverture a été présidée par le représentant personnel du Premier ministre, chef du gouvernement, Bello Bouba Maïgari, ministre d’Etat, ministre du Tourisme et des Loisirs (Mintoul). Ce congrès organisé par le gouvernement en partenariat avec l’Organisation internationale du bambou et du rotin (INBAR) a pour thème « Le bambou et le rotin comme moteur d’une économie résiliente et durable en Afrique, dans le contexte marqué par la dégradation progressive des ressources en bois d’origine naturelle et l’urgence de la lutte contre les changements climatiques ». Occasion de rappeler le rôle de cette filière dans la réduction de la pauvreté et la lutte contre les changements climatiques. Il s’agit en effet, de contribuer à la réduction de la pauvreté et à la préservation de l’environnement grâce à la production, la transformation et l’utilisation de ces deux matières. En organisant ce congrès, INBAR ambitionne de fournir une plateforme Sud-Sud et Sud-Nord en matière de développement durable et inclusif de la filière bambou et rotin. Aussi doit-on signaler que cette organisation vise la promotion du développement écologique durable en s’appuyant sur l’utilisation du bambou et du rotin afin d’améliorer le bien-être des producteurs et des utilisateurs de ces deux espèces.  
Pour sa part, le directeur général de INBAR a fait savoir que le Cameroun a fait dans ce secteur plus que ce qu’on attendait de lui tant au niveau sous ré...

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