Circulation des armes légères et de petit calibre : il faut stopper la prolifération

Dans le cadre d’un forum d’échanges qui se tient depuis hier 21 juin, des parlementaires du Cameroun et d’autres pays du continent voient leurs moyens de lutte renforcés.

Les armes légères et de petits calibres circulent en abondance. De manière illégale dans nos sociétés. Ces instruments qui sèment la mort à tout-va cohabitent avec des populations innocentes, laissant ainsi prospérer le terrorisme et le grand banditisme. Aux côtés des pouvoirs publics, des parlementaires africains, membres du Forum mondial dédié, entendent apporter leurs contributions à travers des actions de terrain. Mais pour le faire, ils ont besoin de s’approprier les contours dont s’accompagne la problématique de la prolifération de ces outils meurtriers. L’atelier que ce regroupement organise à l’intention des parlementaires, depuis hier, 21 juin, au Palais des Congrès de Yaoundé, à travers la Commission de la Défense de l’Assemblée nationale tombe à pic. Il ambitionne donc de renforcer leurs capacités sur la mise en œuvre d’un certain nombre d’instruments définis par les Nations unies. La cérémonie d’ouverture desdits travaux a été présidée par Théophile Baoro, vice-président de la Chambre, en présence du secrétaire d’Etat à la Défense chargé de la Gendarmerie nationale, Galax Etoga, et des représentants du corps diplomatique. 
Venus de la Tanzanie, du Togo, du Niger et du Cameroun, ces parlementaires seront outillés sur l’implémentation de l’Agenda 2030 des Nations unies, ainsi que sur les résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies articulées autour de « la paix, la sécurité et de la protection de la femmes ». Il s’agit d’une résolution qui place la femme au cœur de toutes les stratégies politiques mises en œuvre au sein des Etats pour lutter contre les différents conflits et protéger la femme, consid&ea...

Reactions

Commentaires

    List is empty.

Laissez un Commentaire

De la meme catégorie