Grandes écoles : un boulevard d’opportunités

Ces institutions proposent des formations professionnelles pratiques qui débouchent sur des emplois.

De manière générale, les grandes écoles font courir. Parce que, contrairement à la plupart des facultés des universités, à l’exception des établissements comme la Faculté de médecine et de sciences biomédicales de l’Université de Yaoundé I, elles proposent des formations professionnelles pratiques dispensées par d’éminents universitaires calés dans le domaine. Des connaissances qui, même si elles ne débouchent plus automatiquement sur un emploi assuré, permettent de donner des outils pour être opérationnel dans un secteur donné. Même si certains recrutements ont été gelés à la Fonction publique, des produits comme ceux de l’Ecole nationale supérieure polytechnique de Yaoundé ou ceux de l’Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC) de Douala et l’Ecole supérieure des sciences et techniques de l’information et de la communication (ESSTIC) sont des exemples de compétitivité sur le marché de l’emploi aujourd’hui. Le coût de formation accessible à ces écoles majoritairement subventionnées par l’Etat est de 50 000 F. 
Les candidats aux écoles de formation ont tendance à se ruer là où le travail est garanti. Raison pour laquelle, l’Ecole nationale d’administration et de magistrature (ENAM), l’Institut des relations internationales du Cameroun (IRIC) ou l’Ecole militaire interarmées (EMIA) de Yaoundé qui débouche...

Reactions

Commentaires

    List is empty.

Laissez un Commentaire

De la meme catégorie