Ecole de guerre de Yaoundé : des stagiaires à la Sopecam

La 17e promotion est venue hier s’imprégner du fonctionnement de la société de Presse et d’Editions du Cameroun.

Ils étaient soixante, avec à leur tête, le colonel Pierre Loti Tiokap, alors commandant de l’Ecole supérieure internationale de guerre de Yaoundé (ESIG). Dans le cadre d’un module lié aux médias, la 17e promotion de l’ESIG est venue visiter la Société de presse et d’Editions du Cameroun (SOPECAM). Concrètement, il s’est agi pour ces officiers supérieurs de 21 nationalités et issus des armées de terre, de l’air, de la marine et de la gendarmerie, de découvrir le travail qui se fait à la SOPECAM. Et c’est tout naturellement que, introduits par le Directeur général adjoint, Shey Peter Mabu, la délégation militaire a entamé sa visite par la direction de la Rédaction de Cameroon Tribune, lieu de fabrication du produit phare de l’entreprise. A la direction de la rédaction, ils ont ainsi été briefés par les éditorialistes Grégoire Djarmaila, Godlove Bainkong, le grand reporter Rousseau Joël Foute, et le coordonnateur de Cameroon Tribune en ligne, Simon Pierre Étourdi. Les quatre journalistes se sont succédés devant les hôtes en leur expliquant le style du journal, sa ligne éditoriale, le processus de production du journal papier et du journal en ligne. Paraphrasant un ancien journaliste de la maison, Rousseau Joël Foute lancera cette boutade : « Cameroon Tribune n’est pas la 33 Export (bière) ». Pour dire que, chaque édition du journal est différente de l’autre, contrairement à la bière qui a les mêmes ingrédients, le même goût. Une comparaison qui a bien faire rire les hôtes de la Sopecam.
Le petit groupe s’est ensuite déporté vers l’atelier de prépresse et ensuite ver...

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