Villes durables : la recherche scientifique en renfort

La première édition du programme « Campus chercheurs », organisée en présence du haut-commissaire du Canada au Cameroun, a tablé sur ce sujet du 23 au 25 août à Douala.

Douala a abrité, du 23 au 25 août, la première édition du programme « Campus Chercheurs » de l’organisation The Okwelians. Il s’agit d’un programme de réflexion avancée, réunissant des chercheurs de divers bords sur une thématique précise en vue de proposer des solutions innovantes aux défis actuels et futurs de la transformation du Cameroun.
Cette première édition, organisée en partenariat avec l’Université de Montréal Canada, la Fondation Afric’Avenir international et la Fondation MAM, a eu pour thème : « Habiter la ville camerounaise aujourd’hui et demain : Douala, Foumban et Rey Bouba ». A en croire le président de l’organisation The Okwelians, Jacques Jonathan Nyemb, l’action publique a fort à faire face aux défis sociaux, économiques et politiques. « Pour véritablement opérer ce paradigme tant attendu, nous avons pensé qu’il était important de contribuer à replacer la recherche au cœur et au service de l’action publique », a soutenu Jacques Jonathan Nyemb. Cette édition de « Campus Chercheurs » a été une occasion d’inviter les chercheurs et toutes les parties prenantes à repenser et imaginer les villes camerounaises. « Il s’agit de penser des villes où on peut décemment se loger, se nourrir, se déplacer. En clair, vivre dans le bien-être », précise le président de The Okwelians.
Le haut-commissaire du Canada au Cameroun, S.E. Richard Bale, a insisté sur les aspects formels et informels des villes africaines, tout en se basant sur l’exemple d’un marché au Kenya qui n’est pas loin des réalités observées dans la ville de Douala. « Pour ceux qui gèrent la ville et qui améliorent les conditions de vie des populations, il est important de ne pas oublier l’informel », a ...

Reactions

Commentaires

    List is empty.

Laissez un Commentaire

De la meme catégorie