Protection de l’environnement : la restauration comme solution

C’est la principale recommandation consignée dans le rapport « Planète vivante 2022, pour un bilan nature positif » de l’ONG Wolrdwide Fund for Nature, présenté le 3 novembre dernier à Yaoundé.

L’organisation non gouvernementale (ONG) Worldwide Fund (WWF) for Nature a rendu la copie de son enquête sur la conservation de la biodiversité dans le Bassin du Congo. Le document produit au terme de cette étude appelé « Rapport planète vivante 2022 » a été présenté au public le jeudi 3 novembre à Yaoundé, en présence du représentant du directeur national de WWF. Ladite séance de restitution s’est déroulée à la fois en présentiel et en visioconférence. Le directeur du bassin du Congo au sein de l’ONG, Martin Kabaluapa intervenant depuis Brazzaville, la capitale congolaise. 
Le rapport Planète vivante 2022 renseigne qu’il y a une chute de 69% en moyenne de l’abondance relative des populations d’animaux sauvages suivies dans le monde entre 1970 et 2018. Ce qui démontre un accroissement de l’empreinte écologique, notamment au niveau de la perte des populations et des espèces. D’après ce document, le Bassin du Congo, considéré comme le deuxième plus grand massif forestier du monde derrière l’Amazonie, représente à lui seul, plus de 30% de la perte énoncée plus haut. C’est dire que la moitié des espèces y ont disparu. Ceci, parce que l’empreinte écologique de l’humanité dépasse la biocapacité de la terre. Si bien que pour le directeur de la conservation du Bassin du Congo, « la situation est préoccupante. Elle interroge au fond, nos modes de conservation de la biodiversité dans le Bassin du Congo qui fait face aux changements climatiques. » Que faire donc face à ce genre de challenge ?
Pour inverser la courbe,...

Reactions

Commentaires

    List is empty.

Laissez un Commentaire

De la meme catégorie