Campo : le CERAC apporte du sourire
- Par Pierre Rostand ESSOMBA
- 14 nov. 2022 12:06
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Une délégation de l’association fondée par la première dame, Chantal Biya, est allée, samedi dernier, remettre une multitude de dons aux populations de la ville frontalière.
Qui plus heureux que les populations de Campo ? Elles ont reçu, le 12 novembre 2022, une multitude de dons de la première dame, Chantal Biya, présidente fondatrice du Cercle des Amis du Cameroun (CERAC). Une école primaire réhabilitée, un hôpital rénové et équipé, du matériel agricole et des denrées alimentaires. Les paquets ont été remis aux populations, par une forte délégation du CERAC conduite par la Coordonnatrice générale adjointe, Béatrice Evou Mekou, représentante personnelle de Madame Chantal Biya.
Campo, petite ville frontalière de la Guinée équatoriale dans le département de l’Océan, a donc déjà un hôpital digne de ce nom. Le rêve de ses populations s’est réalisé. Le CERAC, par ses soins, a remis presque tout à neuf au Centre médical d’arrondissement de Campo. Du matériel de bureau au matériel d’entretien, ce centre médical qui fonctionnait déjà à peine, a tout eu. Un groupe électrogène, une table radiante, des matelas, des lits et des berceaux, des médicaments entre autres font aujourd’hui la fierté des populations et du personnel médical. Le médecin-chef du CMA Campo, Dr Florence Beyala Zengue, n’a pas pu cacher son émotion. Des larmes ont coulé de ses yeux. « Les mots me manquent pour dire merci à la première dame. Les patients de Campo ont désormais tout sur place », a-t-elle assuré.
Tout à côté de ce centre médical, ce sont les écoles primaire et maternelle de Campo-ville qui ont bénéficié des largesses du CERAC. Ici, la joie déborde. Elèves et enseignants sont émerveillés. L’établissement aux bâtiments vétustes a été relooké. Au total, sept salles de classe dont cinq au primaire et deux à l’école maternelle. Des tables-bancs et des ordinateurs. « Pendant la pluie, on suspendait les cours parce que les élèves se mouillaient. C’est un souvenir oublié », relève Max Jean Claude Ze, inspecteur d&...
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