Métrologie : l’Acamet évalue ses défis

Se structurer comme un outil fiable d’accompagnement des politiques et infrastructures nationales en matière de commerce et d’industrie. Voilà l’objectif que se fixe l’Association camerounaise des professionnels de la métrologie (Acamet). Une ambition rendue publique vendredi 11 août dernier à Douala, à l’occasion d’un conclave des membres de cette jeune association (créée il y a quelque vingt-quatre mois) ouvert à des responsables d’administrations locales comme le Mincommerce, l’Anor, mais aussi à l’Union européenne, etc.
Les travaux de la session tenue vendredi, qui se voulaient une nouvelle étape dans la mise en place de l’association, ont été présentés par le président de l’Acamet comme participant à « la dynamique de construction » de l’entité. Ephreim Tchakounté, dans son mot d’ouverture, soulignera que cette mise en route n’a pas été aisée. « Nous avons dû, dans une situation de quasi forceps, mener nombre d’activités à l’effet de donner vie à notre association, notamment se conformer d’un point de vue administratif (…) susciter des débats de fond sur l’activité dans notre pays », va-t-il notamment indiquer. Mais la suite est envisagée avec optimisme.
L’association planche ainsi sur une assemblée générale extraordinaire prochaine, sur l’élaboration d’un code de déontologie qui aura vocation à rassembler les acteurs du secteur de la métrologie autour d’un e...