Le manque d’efficacité a été relevé jeudi par l’organe commun d’actions de lutte à Douala.
Qu’est-ce qui ne va pas ? Une grande interrogation, à laquelle les membres de la Plateforme d’actions de lutte contre le désordre urbain et de la protection civile à Douala devaient répondre ce jeudi 2 mars 2017. Une question posée par le préfet du département du Wouri, Naseri Paul Bea, par ailleurs président de la Plateforme, qui a dédié la journée à une séance de brainstorming dans ses bureaux à Bonanjo, en lieu et place de l’habituelle descente sur le terrain. Objectif : recadrer le plan d’actions de l’instance, repenser les stratégies de lutte.
observé sur le terrain. Quelques exemples ont été pris. D’abord celui de commerçants déguerpis et revenus s’installer sur l’espace à libérer. Pour les marchés, on peut citer Ndogpassi, Mboppi, chinois, Nkololoun où des étals se trouvent même sur les terre-pleins. On n’oublie pas le fameux carrefour Ndokoti, malgré de multiples descentes. Autres exemples, celui des constructions qui essaiment sans permis de bâtir ou encore des propriétaires d’immeubles qui connectent leur puisard directement aux drains et rigoles.
Pour expliquer ce manque d’efficacité, quelques raisons ont été évoquées. Entre autres le nonsuivi des recommandatio...
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