« Ce séjour est l’occasion de tisser des partenariats »
- Par Carine Tsiele
- 03 juil. 2024 12:51
- 0 Likes
Olivier Ndembi, chef de service enquêtes et reportages à L’Union au Gabon.
Quelle sera votre contribution pendant la célébration cinquantenaire de Cameroon tribune ?
Je tiens à remercier tout le staff de la Société de Presse et d’Editions du Cameroun qui a fait honneur au journal L’union du Gabon de participer à cette célébration. Il faut dire que l’Union est un journal qui au départ était public, il est devenu privé depuis pratiquement 25 ans. Notre contribution sera de partager notre expérience, sur les différentes mutations intervenues au niveau de la presse écrite au Gabon. Nous allons surtout apprendre ce qui se passe ici au Cameroun, peut-être que les expériences des uns et des autres peuvent amener les parties à améliorer le travail.
Quelles relation entretenez-vous avec la presse camerounaise en général ?
Jusque-là, nous n’avons pas eu de partenariat en tant que tel. Mais il est clair que nous avons souvent des contacts avec des journalistes du Cameroun qui viennent en mission au Gabon. Ce séjour est l’occasion de tisser des partenariats.
Pouvez-vous décrire un peu l’environnement médiatique du Gabon ?
Il faut dire qu’au Gabon il y a la presse publique et le presse privée. Avec les changements intervenus dans le pays, il faut préciser qu’au niveau de la presse publique, il y a beaucoup plus de liberté. C’est comme si les gens étaient embrigadés et aujourd’hui, les journalistes produisent un travail admiré et suivi par la population. Il faut souligner qu’avant, il y avait un véritable désamour entre le public et la presse publique. Mais aujourd’hui, avec les contenus qui ont complètement été revus, il y a un climat beaucoup plus intéressant. Au niveau de la presse privée, l’Union qui est le plus grand journal de la presse écrite, et les autres travaillent ensemble. Sauf que notre environnement est marqué par la présence des journaux qui écrivent sur la base des informations parfois erronées et des rumeurs. Comme dans la presse électronique. Le travail qui est demandé aux journalistes surtout ceux de la presse écrite, c’est d’être encore plus sérieux, car nous sommes dans un environnement concurrentiel. C’est pourquoi il faut d...
Cet article complet est réservé aux abonnés
Déjà abonné ? Identifiez-vous >
Accédez en illimité à Cameroon Tribune Digital à partir de 26250 FCFA
Je M'abonne1 minute suffit pour vous abonner à Cameroon Tribune Digital !
- Votre numéro spécial cameroon-tribune en version numérique
- Des encarts
- Des appels d'offres exclusives
- D'avant-première (accès 24h avant la publication)
- Des éditions consultables sur tous supports (smartphone, tablettes, PC)
Commentaires