Le non-paiement de trois mois d’arriérés de salaire et de certains avantages dus, à l’origine de ce mouvement d’humeur depuis mercredi dernier.
C’est le service minimum depuis hier au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Yaoundé. Seuls les malades hospitalisés, les femmes en travail et les accidentés reçoivent des soins. Et pour cause ! Le personnel soignant de cette formation sanitaire observe depuis mercredi dernier un arrêt de travail. Le non-paiement de salaires des mois de juin, juillet et août, de quatre mois d’arriérés de quotes-parts (les 30% de recettes réalisés par un employé) d’avril à juillet et la non-production des états des sommes dues relatives à la dette sociale qui s’élèverait à quatre milliards de F CFA, sont entre autres raisons qui expliquent ce mouvement d’humeur.
Selon le représentant des syndicats nationaux des personnels soignants et médicaux sanitaires du CHU, Clément Mballa, c’est suite au silence de l’administration au sujet des éclaircissements demandés dans une correspondance datée du 8 août dernier que le personnel de cette institution a décidé d’observer un arrêt de travail dès le 24 août 201...
Cet article complet est réservé aux abonnés
Déjà abonné ? Identifiez-vous >
Accédez en illimité à Cameroon Tribune Digital à partir de 26250 FCFA
Je M'abonne1 minute suffit pour vous abonner à Cameroon Tribune Digital !
- Votre numéro spécial cameroon-tribune en version numérique
- Des encarts
- Des appels d'offres exclusives
- D'avant-première (accès 24h avant la publication)
- Des éditions consultables sur tous supports (smartphone, tablettes, PC)
Commentaires