C’est l’un des leitmotive du forum national QHSE, dont la deuxième édition aura lieu fin avril.
«Quand vos toilettes sont propres, ça a un impact sur votre business, sur votre image. Pourtant, certaines entreprises n’en ont pas ou pour celles qui en ont, elles sont tellement sales… ». Cet exemple terre à terre est pris par Roland Kwemain, dirigeant du cabinet Go Ahead Africa, pour illustrer l’importance de la démarche Qualité-Hygiène-Sécurité-Environnement (QHSE) dans les performances d’une entreprise. Une démarche qui aide toute organisation à mettre sur pied des procédures, des process afin de valoriser la qualité. Une démarche pour laquelle le cabinet a dédié un forum, dont la deuxième édition se tient les 27 et 28 avril 2017 à Douala.
Objectif du forum national QHSE, regrouper les professionnels du secteur afin de faire des mises à niveau. Principales cibles, avec l’ouverture du Cameroun aux Accords de partenariat économique (APE) et donc une obligation de compétitivité, les Pme et les startups. Elles qui n’ont pas les moyens de faire les certifications, surtout que, comme le précise Roland Kwemain, « c’est un secteur où les normes évoluent très rapidement ».
Pour cette 2e édition, comme pour la première, il est donc question de faire venir des experts. En 2016, ils étaient quatre, fruit d’une collaboration avec l’Ecole supérieure pour la Qualité, l’Environnement, la Santé et la Sécurité en Entreprise (ESQESE) de l’université catholique de Lyon. Ils seront cinq cette fois avec un expert hygiène et santé, comme demandé par les participants l’année dernière, en parlant notamment du délicat secteur de l’agro-alimentaire.
Au programme donc, cinq articulations parmi lesquelles la conférence publique sur le thème : « L’impact de la QHSE sur la performance des entreprises dans un monde connecté ». Il y aura également une dizaine de formations thématiques, et des workshops thématiques. Des sessions pour lesquelles les organisateurs espèrent attirer le plus de Pme, contrairement à l’année dernière où plus de 80% étaient des multinationales. L’autre attente concerne la présence des étudiants. En 2016, leur participation (ils étaient une trentaine) avait été la grosse satisfaction du comité d’organisation. Des apprenants qui venaient de la Faculté de génie industriel de l’université de Douala et d’instituts supérieurs d’enseignement privé entre autres, qui offrent une formation en QHS...
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