Sur Facebook, quelques services publics ouvrent des pages pour s’adapter à la modernité mais l’intérêt demeure relatif
Les administrations publiques de Douala qui ont recours aux nouvelles technologies afin de communiquer ou de rendre leurs services aux usagers ne sont pas nombreuses. « La plupart se limite aux publications sur des sites Internet dédiés ou plus rarement des pages Facebook », indique Sandrine Ngodi, délégué départemental de la Communication pour le Wouri. En l’absence de demandes d’accompagnement, le service de tutelle en matière de communication observe sans grand intérêt le phénomène qui n’est pas mesuré.
Et pourtant, en ville, le recours à Facebook pour s’informer, se divertir et même commercer est devenu un phénomène ordinaire. S’il n’existe aucune consigne officielle en la matière, quelques initiatives pointent leur nez. En tapant dans un moteur de recherche les mots-clefs jeunesse, éducation civique, littoral, Cameroun, délégation… l’on peut accéder par exemple à la page Facebook et au site Internet de la représentation régionale du ministère de la Jeunesse et de l’Education civique pour le Littoral. Sauf incident.
Où l’on découvre alors quelques conseils, des messages de sensibilisation, des vidéos, datés de 2016. La délégation sœur des Sports et de l’Education physique, elle, n’a plus rien posté depuis novembre 2016. Quand elle annonçait la formation des officiels d’athlétisme. Et plus tard dans des commentaires en termes joyeux, partageait nouvelles et guide pratique sur la Can de football féminin don...
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