Des solutions proposées par un consortium américain, avec le soutien de l’ambassade des Etats-Unis.
« Les vrais dangers dans une ville des affaires comme Douala, c’est de pouvoir mettre son système financier hors service, que ce soit au niveau du port, des banques et de la téléphonie. L’impact économique peut être désastreux.» En quelques mots, Thierry K. Wandji, Chief Technology Officer d’Atr Cyber, un consortium d’entreprises américaines œuvrant dans la cyber-sécurité, évalue les risques encourus par les systèmes d’information de la capitale économique camerounaise. Un tableau dressé jeudi 8 septembre 2016 à Douala, lors d’une conférence organisée par l’ambassade des États-Unis, deux jours après Yaoundé.
La rencontre, tenue en présence des autorités de la région du Littoral, notamment le gouverneur Samuel Dieudonné Ivaha Diboua, a été l’occasion de comprendre le travail d’Atr : faire des tests de pénétration (tester les systèmes d’information pour évaluer leur vulnérabilité). A ce sujet, Thierry K. Wandji a rappelé quelques chiffres : « Il y a eu 25 milliards de pertes du gouvernement camerounais en 2015, avec un taux de pénétration d’Internet de 18%. Je vous laisse deviner ce que ça pourrait être quand Internet sera à 50%. » Il cite également des rapports de l’Union internationale des Télécommunications qui indiquent que le Cameroun en Afrique est l...
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