Des représentants de huit pays d’Afrique centrale planchent sur le sujet depuis ce 5 septembre à Douala
Des interceptions à l’exportation de nos produits agricoles, se manifestant par des traitements additionnels, des refoulements ou la destruction desdits produits, ont été enregistrées depuis quelques années, en raison des barrières dites de qualité, érigées à l’entrée d’espaces comme l’UE ou les Etats-Unis. Rappel fait à Douala hier, 5 septembre, par le ministre de l’Agriculture et du Développement rural (Minader). Henri Eyebe Ayissi s’exprimait ainsi à l’ouverture d’un atelier régional de réflexion sur la surveillance des capacités de diagnostic et le rapportage des pestes agricoles en Afrique centrale – étalé jusqu’à ce 7 septembre dans la capitale économique. Ceci ne va pas sans conséquences négatives sur la balance commerciale de notre pays, comme celle d’autres Etats de la sous-région Afrique centrale.
Sur un autre plan, en raison des changements climatiques, le Minader a relevé la résurgence des ravageurs de cultures – véritable peste, en l’occurrence –, qui mettent à mal les systèmes de production agricole. Parmi ceux-ci, la chenille légionnaire, menace grave pour la sécurité alimentaire et le commerce intra-régional ou international.
Une situation suffisamment grave pour appeler des réactions. D’où la ten...
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