Abigaëlle Gouater: « La photo me fascine »

Photographe

 

A seulement 16 ans, qu’est-ce qui vous a poussée vers la photographie ?


J’ai commencé à faire de la photographie il y a précisément deux ans. Toute mon enfance, je l’ai passée auprès d’un père photographe. C’est le fait de le voir à l’œuvre qui a cultivé cette passion en moi. Tout ce qu’il faisait m’impressionnait. J’aimais cette capacité qu’il avait de rendre fidèlement les images qu’il capturait. A partir de ce moment, j’ai commencé à m’intéresser à son activité. Je lui posais tout le temps des questions sur comment il réussissait à faire certaines choses. Ensuite, est né le désir de faire des recherches, de l’accompagner sur le terrain, lui proposer mon aide. C’était le déclic. Aujourd’hui, je couvre des mariages, des anniversaires, des baptêmes et des expositions artistiques.


Quelles sont les joies et les peines de ce métier pour quelqu’un d’aussi jeune ?


Les joies proviennent d’abord de la passion. Car lorsque vous faites un travail sans passion, vous n’êtes pas à l’aise et vous manquez de volonté. Ensuite, une autre joie, c’est de lire la satisfaction sur le visage des clients. Le fait qu’ils aiment, apprécient et complimentent mes œuvres me motive et m’encourage à faire plus. Concernant les peines, je dirais qu’elles viennent généralement de l’entourage. Il y a ceux qui ne considèrent pas ce que je fais. Au lieu de m’encourager, ils trouvent  l’occasion de me dénigrer. Les peines peuvent également venir des clients. Lorsque ces derniers ne paient pas le montant convenu. Je me retrouve à dépenser e...

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