CAMES 2017: 3 candidats à l’agrégation

La 18e édition du concours officiellement lancée vendredi à l’université de Yaoundé I, par Jacques Fame Ndongo, ministre de l’Enseignement supérieur.

Le ministre de l’Enseignement supérieur, Jacques Fame Ndongo, grand chancelier des Ordres académiques et président en exercice du Conseil des ministres du Cames (Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur), a procédé vendredi dernier à l’amphithéâtre 700 de l’université de Yaoundé I à Ngoa Ekelle, au lancement de la 18e édition du concours d’agrégation Cames en sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion, qu’abrite l’université de Yaoundé II. Et ce, en marge des activités préparatoires au 50e anniversaire du Cames.

Pour Jacques Fame Ndongo, au-delà de l’honneur qui échoit, une fois de plus au Cameroun d’accueillir le concours d’agrégation Cames pour la quatrième fois, en même temps que la fine fleur de l’intelligentsia du continent, « ce choix est aussi une reconnaissance solennelle de la vitalité du système universitaire camerounais, avec l’appui du Cames. Ce qui oblige notre pays, à redoubler d’ardeur et d’ingéniosité pour répondre aux défis qui s’imposent à lui. Et parmi ces défis, celui de la professionnalisation occupe un rôle essentiel. Il y va de la survie et de la crédibilité de notre système universitaire. « L’université ne doit plus être une usine à fabriquer des chômeurs, elle doit garantir l’employabilité des diplômés, former pour des emplois stables, décents et sécurisés, faire des apprenants des catalyseurs, des créateurs d’emplois, des gestionnaires d’entreprises producteurs de richesses pour nos pays . L’université doit devenir une technopole de recherches et de solutions innovantes p...

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