Victime d’un AVC dimanche dernier, le sélectionneur des Lions A’ arrive mercredi à l'hôpital universitaire de la Pitié-Salpêtrière à Paris.
Un sourire. Une tête levée. Et voilà des parents réconfortés. Il est 18 h 18 mn. Sur sa civière, Rigobert Song Bahanag veut apaiser ces personnes qui, par centaines scandent « Debout Rigo ! ». Son transfert de sa chambre d’hospitalisation du Centre des Urgences de Yaoundé (CURY) vers l’ambulance médicalisée qui le transporte pour l’aéroport de Yaoundé Nsimalen est bref mais chargé d’émotions. Soulagement. Sur le visage de cette tante, perlent des larmes … de joie. « Il a souri. Ça va. Magnan est là ». Elle essaie de décrire son état à une autre, toujours sur les lieux. « J’ai soif. Ma gorge s’est dénouée ». Plus loin, des doutes de badauds sont levés. « C’était une rumeur capi. Tu es là. J’ai témoigné. Le Lion est là », entend-on dans une foule que les services de sécurité du CURY peinent à maîtriser. Perchés sur les grilles de l’hôpital central voisin, téléphones en mains, certains veulent capter tout, ou presque.
Victime d’un accident vasculaire cérébral (AVC) dimanche dernier, l’ancien capitaine des Lions indomptables et actuel sélectionneur des Lions A’ arrive à Paris mercredi à bord d’un avion médicalisé. L'hôpital universitaire de la Pitié-Salpêtrière doit l’accueillir. Des médecins l’y attendent. Comme pour rassurer ces journalistes, une tante indique que lundi dernier, il allait mieux. Il a d’ailleurs bu un yaourt. « Le médecin nous a demandé d’en acheter hier soir (lundi, ndlr). J...
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