A l’initiative des universitaires, une rencontre d’idées s’est ouverte mardi à l’université de Yaoundé II.
La première dame n’a pas un rôle institutionnel au Cameroun. Pourtant depuis 1994, l’on a vu son déploiement sur le plan social en vue de venir en appui à ses concitoyens dans de nombreux domaines, dans un monde de plus en plus déshumanisé. Un dévouement qui s’est caractérisé par la mise sur pied d’un certain nombre de structures qui supporte cette action sociale. On peut ainsi citer, sans être exhaustif, la Fondation Chantal Biya (FCB) qui bénéficie désormais du statut consultatif spécial du Conseil économique et social des Nations unies ; les Synergies africaines contre le Sida et les souffrances ; le Centre international de référence Chantal Biya (CIRCB) ; le Centre hospitalier de recherche et d’application en chirurgie endoscopique et reproduction humaine (CHRACERH). Autant d’initiatives qui valent à leur génitrice, respect, admiration et reconnaissance au sein de l’opinion publique nationale et internationale. Ainsi donc, elle est depuis novembre 2008, ambassadrice de bonne volonté de l’UNESCO, ambassadrice spéciale de l’ONUSIDA depuis 2015 pour ne signaler que ces cas. Suffisant pour que la communauté scientifique camerounaise se penche sur cette action et ouvre la réflexion pour une éventuelle institutionnalisation du statut de la première dame. C’est ce qui se fait depuis mardi dans la salle des actes du rectorat de l’université de Yaoundé II-Soa.
En ouvrant, au nom du Premier ministre, chef du gouvernement, qui en assure le parrainage, le colloque sur le thème « Droits fondamentaux et politiques de solidarité au prisme de l’action sociale de la première dame du Cameroun, le Pr. Jacques Fame Ndongo, ministre de l’Enseignement supérieur (MINESUP) et Chancelier des Ordres académiques s’est voulu clair : il s’agit de questionner la dimension heuristique de l’œuvre sociale de la première dame du Cameroun. Une personnalité qui s’est affirmée en « posant des actions sociales et humanitaires au plan n...
Cet article complet est réservé aux abonnés
Déjà abonné ? Identifiez-vous >
Accédez en illimité à Cameroon Tribune Digital à partir de 26250 FCFA
Je M'abonne1 minute suffit pour vous abonner à Cameroon Tribune Digital !
- Votre numéro spécial cameroon-tribune en version numérique
- Des encarts
- Des appels d'offres exclusives
- D'avant-première (accès 24h avant la publication)
- Des éditions consultables sur tous supports (smartphone, tablettes, PC)
Commentaires