Diaspora : un potentiel au service du pays

Les membres de cette commission ont émis des idées qui ont pour objectif de mettre les connaissances acquises à l’étranger au profit de leur nation.

« On n’est mieux que chez soi ». Ce vieil adage, les Camerounais vivant à l’étranger conviés au Grand dialogue national l’appliquent à travers les sujets abordés dans leur Commission. La preuve, c’est dans une ambiance dégagée qu’ils recensent et débattent de préoccupations communes. Le rôle de la diaspora dans la crise et leur contribution au développement du pays est pris très au sérieux. Au rang de celles-ci, la double nationalité. « Nous sommes très heureux de prendre part à ce grand rendez-vous de l’histoire. Notre avis compte et doit compter, parce que nous constituons une majorité importante. C’est pourquoi nous devons contribuer aux affaires de notre pays en créant des entreprises dans notre pays, parce que cela participe du transfert des connaissances acquises chez les autres. La diaspora est un vecteur de développement de notre pays », a confié un participant. 
Pour le président de la Commission Diaspora, le Pr. Jean Louis Atangana Amougou, qu’assistent cinq vice-présidents, quatre rapporteurs et deux personnes ressources, les travaux se déroulent dans une ambiance dégagée empreinte de respect, malgré quelques velléités et des revendications faites avec véhémence des participants. Toutes les tracasseries rencontrées ont été passées au peigne fin avec des propositions à l’appui. Dans le domaine de la médecine par exemple, les professionnels du secteur officiant à l’étranger, bien organisés par pays, ont proposé de travailler en synergie avec l’Ordre des médecins du Cameroun. « Nous avons contacté le président de cet Ordre qui nous a rassurés sur s...

Reactions

Commentaires

    List is empty.

Laissez un Commentaire

De la meme catégorie