Le ministre Ernest Gbwaboubou a présidé mercredi à Douala l’ouverture d’une rencontre panafricaine de la normalisation.
Douala accueille depuis le 23 novembre 2016 et jusqu’à demain les délégués et experts de l’Organisation africaine de normalisation (ARSO). Le 55e conseil de cet organisme s’y réunit pour discuter de l’amélioration des droits humains et notamment ceux de la femme par le moyen de la normalisation. Le lien entre l’objet de l’organisation et le sujet des débats n’est peut-être pas perceptible au premier abord et pourtant il s’agit de résoudre des questions fondamentales de progrès social et économique pour chaque Africain et Africaine.
En effet, a estimé le ministre des Mines, de l’Industrie et du Développement technologique, Ernest Gbwaboubou, le contexte de la rencontre est celui qui dessine pour l’Afrique de « bonnes perspectives pour réaliser la vision africaine d’une zone économique dynamique, diversifiée et compétitive ». Face au reste du monde tiraillé entre grands blocs et pratiques libérales dans les échanges, les Etats africains doivent se mettre ensemble pour exister aux côtés d’ensembles concurrents, a encore plaidé le ministre. La solution serait alors de créer un marché commun. Pour lequel les normes communes s’imposent donc naturellement. Autant pour servir de référence que pour régler d’éventuels différends d’évaluation de conformité.
Les d&e...
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