Tandis que le sommet de janvier pointe à l’horizon, les Etats membres de l’Union africaine n’ont pas encore pu se mettre d’accord sur la personnalité qui succédera à l’actuelle présidente de la commission de l’Union africaine, Nkosazana Dlamini Zuma.
Au sommet de juillet dernier à Kigali au Rwanda, cette succession n’a pas été réglée. Un délai supplémentaire de six mois a été accordé à l’actuelle présidente de la commission, malgré l’expiration de son mandat et le refus de se présenter de nouveau à ce poste. La candidate ougandaise s’étant retirée, deux candidats à l’élection de juillet dernier sont de nouveau en lice. A savoir, la ministre botswanaise des Affaires étrangères, Pelonomi Venson-Moitoi et son homologue équato-guinéen, Agapito Mba Mokuy. Trois autres prétendants sollicitent les suffrages des électeurs. Il s’agit de la ministre kenyane des Affaires étrangères, Amina Mohamed Jibril, de son homologue tchadien, Moussa Faki Mahamat et de l’ancien ministre sénégalais, et ex-représentant spécial du secrétaire général de l’Organisation des Nations unies en Afrique centrale, Abdoulaye Batilly.
On observe que l’Afrique centrale présente deux candidats, au moment où l’Afrique de l’Ouest, l’Afrique de l’Est et l’Afrique australe exhibent chacun un candidat. Pour autant, les chances de tous ces candi...
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