Paul Biya : un engagement constant

Au moment où il souffle la 39e bougie de son accession à la magistrature suprême du Cameroun, le président de la République apparaît toujours à l’avant-garde du combat pour le mieux-être de ses compatriotes.

« Aussi longtemps qu’un Camerounais ne mangera pas à sa faim, qu’il n’aura pas accès à l’éducation, qu’il ne recevra pas les soins de santé auxquels il a droit, notre tâche ne sera pas terminée ». Lorsqu’il prononce cette phrase, le 7 juillet 2001, à l’ouverture du 2e Congrès extraordinaire du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc) au Palais des Congrès de Yaoundé, le président de la République, Paul Biya, a sans doute à l’esprit, le vaste chantier qui est encore le sien dans la construction d’un Cameroun qui prend en compte les aspirations de l’ensemble de ses populations. 
Au rang des nombreux chantiers lancés au cours de ces dix dernières années, la décentralisation est sans conteste celui qui a le plus retenu l’attention du président Paul Biya. En optant pour un modèle de gestion de l’Etat qui s’appuie sur les aspirations des populations à la base, le chef de l’Etat entend impliquer l’immense majorité de ses compatriotes à la gestion des affaires publiques. « Les consultations que j’ai menées, mais aussi les multiples avis et suggestions que j’ai recueillis m’ont conforté dans l’idée que nos concitoyens souhaitent participer davantage à la gestion de leurs affaires, notamment au niveau local. Je crois fermement, à cet égard que l’accélération de notre processus de décentralisation va permettre de renforcer le développement de nos régions », déclarait le président de la République, le 31 décembre 2017, dans son message de fin d’année à ses compatriotes. 
Les attentes des Camerounais s’expriment dans les dix régions, même si l’actualité dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest se fait plus pressante, en dépit des importantes mesures prises par le gouvernement, sur instruction du président de la République, pour répondre aux revendications corporatistes légitimes que des esprits retors ont tôt fait de transformer en menées sécessionnistes. Mais c’est le Cameroun tout entier, expérimentant déjà depuis 2010 l’implémentation de la décentralisation, qui entend voir ce processus aller plus loin, voire plus vite. La promulgation de la loi du 24 décembre 2019, portant Code général des collectivités territoriales décentralisées est venue renforcer cette volonté de faire bouger les lignes avec la redéfinition du cadre de fonctionnement des collectivités locales, dont les régions et l’octroi d’un  statut spécial aux régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, conformément à la Constitution.
Pour permettre à tous ses compatriotes de bénéficier des fruits de la croissance, rien de mieux, chez le président Paul Biya, que le développement des infrastructures. « Les « Grandes ambitions » d’hier vont devenir les « Grandes réalisations ». Et à partir de janvier 2012, le Cameroun sera transformé en un immense chantier », déclare le président de la République, le 15 septembre 2011 à l’ouverture des travaux du 3e Congrès ordinaire du Rdpc. Barrages, ports, routes, infrastructures sportives … Tout y passera. A titre d’illustration, à la veille de l’ouverture de la 33e édition de la Coupe d&rsq...

Reactions

Commentaires

    List is empty.

Laissez un Commentaire

De la meme catégorie