Lutte contre la cybercriminalité : une nouvelle arme de poids

Le ministre des Postes et Télécommunications, Minette Libom Li Likeng, a défendu, vendredi dernier à l’Assemblée nationale, un projet de loi visant le renforcement de la législation nationale.

Les députés examinent, depuis quelques jours, le projet de loi autorisant le président de la République à procéder à l’adhésion du Cameroun à la Convention de Budapest sur la cybercriminalité, adoptée par le Conseil de l’Europe le 23 novembre 2001 dans la capitale hongroise. Le ministre des Postes et Télécommunications (Minpostel), Minette Libom Li Likeng, a défendu ce texte le vendredi 25 mars dernier devant la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale, présidée par l’honorable Emmanuel Banmi. La Convention en question est entrée en vigueur le 1er juillet 2004 et est ouverte à tout Etat non européen. Elle compte à ce jour 67 signataires, dont 11 Etats africains. Ce texte sert de boussole aux Etats dans l’élaboration et la mise à jour de leurs législations respectives dans le cadre de la lutte contre la cybercriminalité. Elle détermine également les modalités de coopération et d’entraide internationales contre les crimes cybernétiques.
En y adhérant, le Cameroun verra sa législation locale en matière de protection de son cyberespace renforcée. Toute chose qui permettra un meilleur déploie...

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