Pieds nus, les cheveux en bataille. Dans un langage subtil, gouaché d'ironie et d'humour, Claudette Mendela Bediebe a su jouer le jeu. Seule sur la scène, elle a tenu en haleine le public pendant 45 minutes. Elle incarnait alors Frida, du roman « D’eau douce », de Fabienne Kanor. C’est l’histoire d'une femme prise dans les filets de la question identitaire et qui, pour s'affranchir, devra tuer de sang-froid son époux. Eric, un amour de jeunesse. Après avoir commis cet acte crapuleux, Frida relate son histoire au travers de flashbacks. C’est une fille qui a grandi dans ces ménages où parler du sexe n'est pas courant et où les parents, sont vigilants sur les fréquentations de leur progéniture. C'est ainsi que tout a été fait pour la tenir hors de portée de quelques hommes mal-intentionnés. Pour son plus grand bien, croyaient alors ses parents.
Sauf que suite à sa rencontre avec Eric tout va basculer. La relation va pourtant débuter sans difficultés. Jusqu'à ce que quelques années après, ce dernier se tran...
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