Droit des réfugiés et droits de l’Homme : à la bonne école

Une session de formation s’est ouverte, hier 25 avril, à l’Institut des Relations internationales du Cameroun, avec l’appui de la Fondation française René Cassin.

Une semaine pour améliorer sa compréhension du droit des réfugiés et du droit international des droits de l’Homme. C’est le défi que doivent relever 75 apprenants venus du Cameroun, du Burundi, du Tchad, de la Côte d’Ivoire, du Gabon, de la République centrafricaine et de la République démocratique du Congo. Cette opération s’inscrit dans le cadre de la 5e session du programme de formation en droits de l’Homme organisé par l’Institut des Relations internationales du Cameroun (IRIC), en partenariat avec la Fondation française René Cassin, le Centre des Nations unies pour la démocratie et les droits de l’Homme en Afrique centrale, l’Ecole citoyenne et politique de Yaoundé et l’ambassade de France au Cameroun. La cérémonie de lancement y relative a eu lieu, hier 25 avril, sous la présidence du secrétaire général a.i du Minrex, Oumarou Chinmoun, représentant le ministre des Relations extérieures. 
La formation qui s’achève le 2 mai prochain, porte spécifiquement sur « le droit des réfugiés, le droit international des droits de l’Homme, les différents systèmes de protection africain et mondial, le droit pénal et le droit humanitaire. Il y aura également des séminaires marqués par des cas pratiques qui vont être proposés aux participants », détaille Anne-Laure Sène, représentante de la Fondation René Cassin. Cette initiative est saluée par le directeur de l’IRIC, Daniel Urbain Ndongo, qui se félicite de son retour, trois ans après une pause imposée par le Covi-19. 
Pour Oumarou Chinmoun, la tenue de cette formation est la preuve de l’intérêt que le Cameroun accorde à la problématique des droits de l’Homme et des réfugi&e...

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