Présidence du MRC : Michèle Ndoki se positionne

Dans une émission télédiffusée le 5 juin dernier, l’avocate a annoncé sa candidature à la tête de cette formation politique. Depuis lors, la toile s’est embrasée.

Depuis que Michèle Ndoki a annoncé sa candidature future à la tête du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC), c’est le tôlée sur la toile.  Dans les chaumières, le débat a également enflé. En effet, au cours de l’émission « L’arène » diffusée sur la chaîne de télévision locale Canal 2 international le dimanche 5 juin dernier l’avocate a mis le coup de pied dans la fourmilière. Si tant est qu’elle vient bousculer une hiérarchie bien établie. La tête du parti étant assumée par l’un des fondateurs, Maurice Kamto, candidat malheureux à l’élection présidentielle de 2018 et ayant occupé le deuxième rang. Au cours de cet entretien, elle a fait savoir que sa candidature trouve sa caution dans les statuts du MRC. Lesquels stipulent, dans l’alinéa (a) de l’article 27 que « le président national du parti, les secrétaires généraux, les vice-présidents et les secrétaires nationaux adjoints sont élus au début de chaque Convention ordinaire ou, le cas échéant, extraordinaire, pour un mandat de cinq ans renouvelables deux fois ». 
Jointe au téléphone hier, elle fera encore prévaloir le même argument. Bien plus, Michèle Ndoki indique être revenue au pays donner plus de contenu et de sens à la « renaissance à laquelle croient de nombreux Camerounais ». Après son séjour de plus d’un an du côté de la Côte d’Ivoire, celle qui, jusque-là était la Première vice-présidente du groupe des femmes du MRC dit vouloir accomplir sa « vision pour le Cameroun ». 
Si pour des Camerounais ordinaires l’annonce de Michèle Ndoki, secrète des germes d’un brin d’audace, certains cadres du MRC

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