Le sélectionneur du Maroc, arrivé fion août, est devenu le premier africain à amener une équipe en quart de finale de la Coupe du monde.
« Je ne suis pas magicien ». Walid Regragui tient tout de suite à mettre les choses au clair. A ceux qui parlent de miracle après la victoire du Maroc contre l’Espagne, le technicien marocain a une explication logique : « Je suis très cartésien. J’ai regardé 20 matchs de l’Espagne. Comme on ne fait pas de miracle, on a juste compris qu’il fallait accepter de ne pas avoir le ballon. Il fallait juste être prêt à l’accepter. Et on a compris que la solution tournait autour de Busquets et de Pedri. Quand on le sait, on prend juste des mesures non ? ». Logique, en effet, cette réponse qui résume Walid Regragui : intelligent, fin tacticien, patient et surtout à l’écoute. Des qualités qui lui permettent aujourd’hui d’être le premier sélectionneur africain à atteindre les quarts de finale de la Coupe du monde. Même si là aussi, l’ancien footballeur préfère qu’on « ne le catalogue pas par rapport à une nationalité. Le plus important est de savoir si on est un bon coach ou pas. Pas de savoir d’où on vient ».
Même s’il ne veut pas y accorder de l’importance, Walid Regragui est entré dans l’histoire. D’autant que son inexpérience jouait à sa défaveur quand il a repris l’équipe après le limogeage de Vahid Halilhodzic en août dernier. Son premier combat aura été de faire venir de nombreux binationaux qu’on regardait de haut au Maroc. Et il y a surtout eu le retour de Hakim Ziyech, mis sur la touche par son pr&e...
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