De grandes réalisations pour le bien-être commun

L’amélioration des conditions de vie des populations est le chantier permanent de tous les leaders politiques, les chefs d’Etat et de gouvernement notamment. Et chez Paul Biya, président d’une République en plein développement, la préoccupation est évidemment forte et omniprésente. Elle a nourri son projet de société au fil des mandats. Et à plus forte raison, par ces temps difficiles, où le pouvoir d’achat est mis à rude épreuve. La crise économique aigue qui sévit depuis plusieurs années, conséquence des effets conjugués de la crise sanitaire due à la pandémie de Covid-19 et des répercussions de la guerre entre la Russie et l’Ukraine, a porté un grand coup aux capacités des ménages à faire face à leurs besoins les plus élémentaires. L’inflation a atteint des niveaux intenables ces derniers mois et les signes d’une embellie se font toujours attendre.
Cette situation est extrêmement difficile pour le Camerounais moyen. Elle l’est davantage pour les populations les plus pauvres. Et pour ces familles qui manquent du strict minimum vital, le gouvernement a mis sur pied le projet dénommé « Filets sociaux », aujourd’hui soutenu par un partenaire de poids : la Banque mondiale. Il s’agit d’un mécanisme pratique de solidarité, destiné à redonner les moyens de l’autonomie financière aux populations les plus démunies. Après une première phase (soutiens financiers et appui à l’autonomisation) qui a permis, en une vingtaine d’années, de sortir 375.000 ménages (près de 2 millions d’individus) de l’extrême pauvreté, le président de la République a annoncé samedi, l’extension du bénéfice du projet à un plus grand nombre de Camerounais encore à travers toutes les dix régions du pays.
Fidèle à sa recherche de l’inclusion sociale, le chef de l’Etat s’emploie ainsi à donner à tous les Camerounais, les mêmes chances de bénéficier des fruits de la croissance. L’idée est de faire en sorte que les retombées profitent directement au plus grand nombre. C’est dans cette optique que Paul Biya a toujours vu dans la construction d’infrastructures, un moyen efficace de toucher la plus grande masse. Et l’année 2022, qui vient de s’achever n’y a pas échappé. Le bilan est plutôt encourageant dans un contexte économique extrêmement tendu :  860 kilomètres de routes, 460 mètres d’ouvrages d’art. Avec des zones névralgiques désormais couvertes, à l’instar de la traversée entre le Cameroun et le Nigeria (pont sur la Cross River), de l’achèvement du bitumage du tronçon Sangmélima-Brazzaville, de l’autoroute Kribi-Lolabé ou de la route Bertoua-Batouri. 
Et pour 2023, le mouvement est appelé à se poursuivre. Le président de la République annonce 700 kilomètres supplémentaires, dont l’axe Ebolowa-Akom II, la reprise des travaux sur les axes Mora-Dabanga-Kousseri, Babadjou-Bamenda et Kumba-Ekondo Titi. Les voiries urbaines, éléments essentiels de la mobilité ne sont pas en reste. La section urbaine de l’autoroute Yaoundé-Nsimalen et la poursuite de l’autoroute Yaound&ea...

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