Journée mondiale paludisme : objectif zéro cas
- Par Marie Christine
- 24 avril 2023 11:14
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Le ministère de la Santé publique et le Programme national de lutte contre la maladie ont mobilisé plusieurs marcheurs samedi pour sensibiliser les populations
Le Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP) a organisé samedi 22 avril dernier, une marche sportive à Yaoundé, en prélude à la commémoration de la Journée mondiale dédiée, prévue le 25 avril prochain. Cette grande marche marquant le coup d’envoi des activités, a mobilisé plus de 500 personnes. Jeunes, enfants et adultes sont venus du ministère de la Santé publique, du PNLP et des organismes partenaires (OMS, UNICEF, PMI, initiative présidentielle de lutte contre le paludisme créé par d’anciens chefs d’Etat américains… USAID, Plan Cameroon, Impact Santé Afrique, IRESCO). Pour conduire cette grande foule à travers les rues de la capitale, le délégué régional de la Santé publique du Centre, le Dr Azombou Mefant, le secrétaire permanent du PNLP, le Dr Marcelin Joël Ateba ont motivé les troupes en se plaçant devant comme guides. Ainsi, de l’esplanade du ministère (point de départ et d’arrivée) en passant par la Poste centrale, Etoa Meki, rond-point Nlongkak, carrefour Warda, ministère de l'Education de base, les marcheurs ont aussi été entraînés par la musique distillée par la fanfare et un car-podium tout le long du trajet. La marche qui a démarré autour de 7h 30 s’est faite sous l’encadrement des forces de l’ordre, des agents de la protection civile et d’ambulances mobilisées pour la circonstance. Dans les rangs, tout le monde a arboré son t-shirt avec inscrit au dos : « Il est temps d’atteindre zéro palu : investir, innover, mettre en œuvre », le thème de cette 16e édition. Parce que l’objectif, c’est bien cela : éliminer le paludisme au Cameroun. Un triptyque qui, selon le Dr Ateba, devrait conduire vers cet objectif, s’il est mis en œuvre. « Investir, parce qu’il faut davantage de moyens pour avoir des outils à même de nous permettre de franchir tous les obstacles. Ça a un coût, et donc, il faut que les gens apportent de l’argent à la cagnotte. Tous les secteurs, aussi bien public que privé, e...
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