Pratique du journalisme : plaidoyer pour un meilleur encadrement

L’Association des journalistes patriotes du Cameroun a présenté des doléances dans ce sens au cours d’une audience accordée, vendredi dernier, par le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, René Emmanuel Sadi.

Près d’une heure pour échanger sur la pratique du journalisme au Cameroun. Ses gloires, mais aussi ses déboires. Voilà l’objet de l’audience que le ministre de la Communication (Mincom), porte-parole du gouvernement, René Emmanuel Sadi, a accordée, vendredi 26 mai dernier, au tout nouveau bureau de l’Association des journalistes patriotes du Cameroun. L’équipe conduite par le président Richard Bondol a présenté trois doléances, avec, comme objectif majeur, l’amélioration des conditions d’exercice de la profession. La première porte sur un retour des séminaires de formation des journalistes. « Il faut relancer ces modules au regard de tout ce qui se passe actuellement, notamment les nombreuses dérives que nous observons régulièrement dans les médias. Il est question de reprendre la main à ce niveau et de responsabiliser tous ceux qui se lancent dans la profession de journaliste », a expliqué Richard Bondol. En deuxième lieu, l’Association des journalistes patriotes du Cameroun plaide pour une plus grande reconnaissance du travail de la presse, davantage celle du secteur privé. Ceci passerait alors par certaines facilités dans la couverture d’évènements nationaux majeurs comme la fête de l’Unité nationale. 
« Nous avons également plaidé pour une plus grande émancipation dans notre travail, à travers la révision de l&rsq...

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