Sûreté nationale : honneur au commissaire Jean Paul Mandeng

Une cérémonie d'hommage a été organisée vendredi dernier à l'esplanade de l'Ecole nationale supérieure de police de Yaoundé.

Tristesse et de consternation vendredi dernier à l’Ecole nationale supérieure de police à Yaoundé. La grande famille de la Sûreté nationale a une fois de plus été touchée par le deuil. Le commissaire divisionnaire Jean Paul Mandeng a perdu le combat contre la maladie le 25 avril dernier à Yaoundé. Le défunt a eu droit à des honneurs militaires à l’esplanade de l’Ecole national supérieur de police. C’est sous escorte policière que la dépouille a effectué le tour de l’esplanade de cette école, après la levée de corps à la morgue de l’Hôpital général. Ladite cérémonie était présidée par le délégué régional de la Sûreté nationale du Centre, le commissaire divisionnaire Didier Ngah, représentant du DGSN, en présence des membres de la famille, des collègues, amis et connaissances. Pour sa fille Antoinette Mandeng, son père était un homme dévoué et aimant. « Il nous a surtout appris à être patient dans la vie. À aller dans la vie étape par étape. Il nous laisse un grand vide, mais c’est la volonté de Dieu », regrette-t-elle. À son décès, le commissaire divisionnaire Jean Paul Mandeng occupait le poste de chef de centre régional de traitement des titres identitaires de la région du Centre. Son collaborateur, l’officier de police de deuxième grade, Jean Marie Atia, témoigne que le défunt était un chef exemplaire. « Il nous a appris à être diligent, respectueux des usagers et à être ferme lorsqu’on est en face d’un dossier qui n’est...

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