Concours administratifs 2023 : les clarifications du Minfopra
- Par Alexandra TCHUILEU N.
- 22 juin 2023 10:58
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Lors d’un point de presse donné hier à Yaoundé, le ministre Joseph LE a présenté les changements majeurs et les contours pour les futures recrues de la Fonction publique.
L’administration publique ouvre la voie pour 2 685 postes. C’est la somme des places disponibles avec l’ouverture des concours administratifs pour la session 2023 à travers 48 arrêtés. Hier, le ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative (Minfopra), Joseph LE, a présenté les contours de ces concours pour cette session. C’était lors d’un point de presse donné à Yaoundé, en présence du Pr. Félix Zogo, secrétaire général du ministère de la Communication.
Primo, les 2 685 places à pourvoir dont 2 235 pour les nouveaux recrutements et 450 pour les concours professionnels. Les places sont réparties par secteurs. D’abord, 1210 pour les concours directs dans les domaines de l’agriculture, du génie rural, des mines et de la géologie, des techniques industrielles, des eaux et forêts, du génie civil, de l’élevage et des pêches maritimes, des industries animales, ainsi que de la santé publique, des techniques des télécommunications, des régies financières, de l’informatique et de la téléinformatique. 300 places sont disponibles pour les concours hors de l’Ecole nationale d’administration et de magistrature (Enam). A savoir : l’Institut national de la jeunesse et des sports, les différents Centres nationaux de la jeunesse et des sports, de l’Institut de formation et de recherches démographiques, et l’Institut sous-régional de statistique et d’économie appliquée. De même, 275 places sont disponibles pour les élèves fonctionnaires des filières classiques de l’Enam. Tandis que 60 autres sont ouvertes pour le recrutement spécial des auditeurs de justice et greffiers pour la section Common Law de l’Enam. Enfin, 290 places sont disponibles pour les agents de l’Etat relevant du Code du travail, contre 100 pour le recrutement des traducteurs. Pour le ministre Joseph LE, il y a une légère évolution par rapport à l’an dernier. Cette situation s’explique par « la prise en compte de certains besoins spécifiques exprimés par les ...
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