Mincom : prêts pour la mutation

Célérité, efficacité et disponibilité. Ce sont les trois principes cardinaux du travail administratif que le ministère de la Communication veut atteindre. Hier encore, à la Conférence annuelle qui se déroule en ateliers, le sujet sur la dématérialisation des procédures était l’objet des discussions. Cette fois, dans le 3e atelier placé sous le thème : « La dématérialisation des prestations aux usagers comme moyen d’optimisation du service public de la communication ». Selon l’exposant, René Kisito Ngankak, directeur du Développement des médias privés et de la publicité, par dématérialisation, il faut comprendre le fait pour le Mincom d’être plus efficace dans l’offre des services, plus utile aux usagers dans les temps. Ceci, en favorisant le passage du support papier vers le support électronique. « En réduisant l’usage des supports durs pour aller vers les supports virtuels, on peut être plus rapide ». Comment ? A cette question posée par les participants, l’expert a apporté quelques éléments de réponses. « On a un certain nombre de prérequis. On ne va pas se lancer dans la dématérialisation sans disposer d’infrastructures nécessaires. Parce que pour passer du physique au virtuel, il y a quand même une étape qui est celle de la numérisation », explique le directeur. Pour y arriver, l’expert propose de disposer d’une infrastructure, une certaine logistique pour faire le travail de numérisation et de renforcer les capacités les ressources humaines à l’utilisation des machines. 
En mi-journée, c’est l’exposé de Rose Anne Limunga Billy Eko, Inspecteur n°2 du Mincom qui a mis fin à la série des ateliers. L’experte, en abordant le thème « Contribution de la transformation digitale à l’amélioration de l’image de marque du Cameroun à l’international », a montré les avantages du digital sur la scène internationale.  Dans son exposé elle présente le Cameroun dans son ensemble, le processus de num&e...