Cursus : la professionnalisation comme leitmotiv

Les formations de l’UBe mettent davantage l’accent sur des enseignements pratiques.

Selon le recteur, Pr. Rémy Magloire Etoua, l’UBe compte se distinguer par la spécificité de ses offres de formation. Ainsi à l’Ecole normale supérieure par exemple, par la formation des formateurs. A l’Ecole supérieure de transformation des mines et des ressources énergétiques, par la formation des ingénieurs en exploration, exploitation et transformation de nos ressources minières et énergétiques. Ici, la ville de Batouri où est situé le campus de cette école, offre un laboratoire de pratique à ciel ouvert pour les apprenants, avec les sites miniers environnants, notamment à Kambélé. A l’Ecole supérieure des sciences de l’urbanisme et du tourisme, il s’agit entre autres, de la formation des ingénieurs urbanistes. Du côté de l'Institut Supérieur d'agriculture, du bois, de l'eau et de l'environnement (ISABEE), la formation des ingénieurs en spéculations agricoles, sylviculture et aquaculture est au cœur du projet. Ce, sans oublier la gestion de la faune et des aires protégées, la pépinière forestière, la politique et la gouvernance forestière, l’étude d’impact environnemental et social et l’agroéconomie. Opérationnelle dès la première année académique de l’université, les cours sont essentiellement pratiques. Pour ses activités à grande échelle, l’ISABEE dispose du site de Yanda-Bobilis, où seront du reste établis les bâtiments administratifs de l’école et d’une forêt-école d’environ 2400 ha. « L’ISABEE est là pour accompagner l’UBe dans sa politique qui est de former des cadres compétents pour changer la société. Nous sommes dans l’optique de former des cadres de terrain qui peuvent s’auto-employer », déclare le Pr. Jean-Lagarde Betti, directeur de l’ISABEE.
A la FSJP, opérationnelle également depuis l’ann&eac...

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