Fait divers : plainte pour fantasme inassouvi
- Par Alliance
- 14 févr. 2024 10:18
- 0 Likes
Honoré D. a été traîné jeudi dernier au commissariat par son épouse Germaine, pour « manquements graves à ses obligations conjugales ».
L’officier de police en charge de l’affaire s’est dit dépassé et en a référé à sa hiérarchie. C’est donc devant le commissaire, dans une unité de police à Bonabéri (arrondissement de Douala IV), qu’Honoré D., 41 ans, opérateur économique, et son épouse Germaine, 34 ans, commerciale dans une savonnerie, se sont retrouvés jeudi dernier. Le couple, huit ans de mariage révolus depuis le 5 février dernier, connaît des désaccords dans son intimité. Plus précisément, l’épouse demande à son mari une pratique – connotant une certaine « oralité » – que ce dernier rechigne à effectuer. Et l’affaire ne date pas d’hier.
Selon les auditions, Germaine a par le passé convoqué deux réunions familiales. La première avec les siens, durant laquelle la dame avait posé son problème : le refus de son mari d’assouvir ce fantasme. Ce dernier avait alors reconnu les faits, et promis de faire des efforts. Promesse non tenue, d’où une seconde réunion initiée par Germaine, avec cette fois sa belle-famille. Le déroulé fut le même. Honoré restant campé sur sa décision, l’épouse a donc résolu de saisir la police.
Jeudi dernier devant le commissaire, Honoré a donné une raison à sa réticence : son pasteur lui aurait dit que la pratique sollicitée par son épouse relève de l’« abomination », et qu’il est donc hors de question d’y consenti...
Cet article complet est réservé aux abonnés
Déjà abonné ? Identifiez-vous >
Accédez en illimité à Cameroon Tribune Digital à partir de 26250 FCFA
Je M'abonne1 minute suffit pour vous abonner à Cameroon Tribune Digital !
- Votre numéro spécial cameroon-tribune en version numérique
- Des encarts
- Des appels d'offres exclusives
- D'avant-première (accès 24h avant la publication)
- Des éditions consultables sur tous supports (smartphone, tablettes, PC)
Commentaires