« Le niveau de la compétition est élevé »

Rendu à mi-parcours, quel bilan pouvez-vous faire ?
En termes de bilan, je dirais que le niveau de compétition est très élevé et satisfaisant. Beaucoup d’athlètes qui étaient déjà là lors des dernières compétitions et qui ont encore l’âge ont relevé leur niveau. Sur le plan de l’encadrement, nous avons observé beaucoup d‘amélioration. Il en est de même pour les officiels. Une compétition de ce niveau suscite beaucoup d’émotions. Ce qui peut conduire à quelques tiraillements. Nous sommes globalement satisfaits tant sur le plan du déroulement que sur le plan technique.  

Quels sont les principaux défis auxquels vous êtes confrontés jusqu’ici ?
Nous avons principalement été confrontés à un défi d’ordre climatique. Il a plu toute la matinée de vendredi. Les sports de salle n’ont pas de gymnase couverts ici. Nous avons dû attendre et nous réadapter. Nous avons pu rattraper en trouvant d’autres espaces et en modifiant quelque peu la formule des compétitions. Nous avons retiré les matches de classement. Nous avons privilégié le classement aux points pour limiter le nombre de matches pour nous permettre de tenir dans les délais. Vous savez que la Fenassco dans son organisation aménage les infrastructures. Ici, dans la région du Sud-Ouest, nous n’avons pas eu beaucoup de problèmes en football parce que le chef de l’Etat construit beaucoup d’infrastructures. Mais le défi était très grand dans les disciplines telles que le volleyball, le basketball, le handball et les sports de combat. Pour relever ce défi, le ministre des Enseignements secondaires a fait construire trois complexes sportifs. Nous disons grandement merci à la hiérarchie ...