BEPC : silence, on compose

8h15. Un peu plus de 15 minutes après le lancement de la première épreuve du Brevet d’études du premier cycle (BEPC), c’est la concentration totale dans les salles de composition du sous-centre d’examen du Lycée de Nkol-Eton à Yaoundé. Sur les 484 candidats attendus, trois sont absents. Le contrôle a été strict quelques minutes plus tôt, avant le lancement des épreuves. Tous les candidats sont fouillés à l’entrée principale du lycée. L’étape suivante est la vérification de leurs pièces d’identification. Le candidat régulier doit être muni d’une carte  d’identité scolaire et d’un récépissé, tandis que le candidat libre doit présenter sa carte nationale d’identité (CNI) ou le récépissé de dépôt du dossier d’examen. Une candidate de la série allemand, dont le nom ne figure pas sur la liste définitive, est admise en salle de composition du fait qu’elle dispose d’une carte scolaire et d’un récépissé de dépôt du dossier dûment signé par la délégation départementale du Minesec pour le Mfoundi. « Il y a eu une petite confusion, mais on a réglé la situation. La candidate est en règle, l’erreur vient de nous… », assure l’un des responsables du secrétariat de ce sous-centre d’examen. Ici, les candidats réguliers issus, entre autres du lycée de Nkol-Eton et du collège adventiste.
Pour cette première journée d’examen, ils ont composé sur quatre épreuves. Notamment l’étude de texte, la dictée, l’informatique théorique et l’éducation à la citoyenneté. L’examen va s&rs...