Nouvelle année : nos résolutions et nous

En 2025, Etienne Amougou, manager d’artiste, fait le choix de l’humilité. « Définir clairement des résolutions me paraît prétentieux. Parce que la vie est très imprévisible. Il y a clairement des choses que je veux accomplir, mais ce n’est pas forcément défini dans l’espace de 365 jours », dit-il. Sur le plan professionnel, il espère continuer à apprendre et améliorer sa capacité à saisir des opportunités. Tout comme Etienne Amougou se promet d’être plus discipliné et faire plus de sport en 2025. « Sur le plan affectif, je compte aussi laisser un peu plus les femmes toucher mon cœur. Je suis un peu rigide et je vais essayer de me projeter avec une sans avoir peur du lendemain », ajoute-t-il. Celle qui se projette aussi bien, c’est Bérénice Moukam. Cadre dans une entreprise de logistique, la jeune mère de famille espère avoir le soutien du Très-Haut pour s’occuper de sa petite famille. « Je veux semer la paix et l’amour autour de moi. Je souhaite également mettre mes marques dans la nouvelle entreprise où j’exerce, afin que mon travail soit apprécié à sa juste valeur », espère-t-elle. Surtout qu’elle se voit grimper rapidement les échelons pour occuper un poste de responsabilité au plus vite. « Je suis vive et je pense que ça pourra faire l’affaire. On vise l’excellence au travail », ajoute-t-elle.
D’autres sont un peu plus réservés quand il s’agit de résolution. Mireille Flore Chandeup, chef d’entreprise, accuse la procrastination coupable de tous ses maux. « Prendre des résolutions sur un an s’avère une utopie à cause des embûches sur le chemin. Je parlerais donc davantage de ligne de conduite. Si je réussis à faire ce que je me suis promis, je me sens bien même si cela me prend plus de temps que prévu », indique Mireille Flore. Pour 2025, la chef d’entreprise compte en tout cas visiter la République démocratique du Congo. « Le plus dur, ce sera de faire concorder m...