La grande palabre s’est ouverte hier en l’absence des poids lourds de l’opposition qui posent plusieurs préalables.
Attendu depuis plusieurs mois, le dialogue national inclusif en République démocratique du Congo (RDC) a finalement démarré hier à Kinshasa à la cité de l’Union africaine (UA). Présidée par Edem Kodjo, facilitateur de l’organisation panafricaine, la cérémonie officielle d’ouverture a drainé un important parterre de personnalités. Pendant quinze jours, quelque 200 délégués vont échanger sur les voix et moyens de sortie de la crise actuelle en vue de l’organisation prochaine des élections paisibles. En présence de Smaïl Chergui, commissaire à la paix et à la sécurité de l’UA, Maman Sidikou, représentant spécial du secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU), l’ancien Premier ministre togolais, Edem Kodjo a invité les participants à saisir cette opportunité pour sortir du blocage actuel dans l’intérêt de la nation.
Plusieurs figures de la scène politique congolaise étaient présentes à cette cérémonie, à l’instar de Léon Kengo wa Dondo, président du Sénat, Aubin Minaku, président de l’Assemblée nationale, et Augustin Matata Ponyo, Premier ministre chef du gouvernement, étaient aux avant-postes. Les opposants Vital Kamerhe, président de l’Union pour la natio...
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