omme et des libertés de 1948. « Le problème de la nationalité est très important. Nul, pour quelque raison que ce soit ne saurait être privé de sa nationalité », a souligné Roger Nkodo Dang. Le président du Parlement panafricain (PAP) qui présidait les travaux, a en outre indiqué la nécessité pour l’institution parlementaire continentale de mûrir la réflexion en vue de la proposition d’une loi-type en la matière.
En marge de la tenue de ce débat, Roger Nkodo Dang a procédé, avec Frans Viljoen de la Faculté de droit de l’université de Pretoria, à la signature d’un mémorandum d’entente. Pour l’universitaire sud-africain, l’institution parlementaire continentale qu’abrite son pays reste jusqu’ici très peu connue. Il s’agira donc de procéder à la vulgarisation de celle-ci auprès des apprenants de la Faculté de droit de Pretoria. « Le second but recherché est d’amener les étudiants à mener des études sur cette institution continentale » a-t-il fait savoir. Pour sa part, Roger Nkodo Dang a indiqué que cette démarche a pour but de rendre le PAP plus et efficace et plus visible auprès, non seulement des étudiants sud-africains qui sont les premiers concernées ici, mais aussi de ceux de l’ensemble du continent. Soulignant par-là que le Parlement panafricain reste ouvert à ce type de partenariat qui vise à lui donner plus de visibilité auprès des peuples africains pour lesquels il travaille.
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Le sujet a été débattu mardi dernier au cours d’une séance plénière en marge de la signature d’un mémorandum d’entente avec l’université de Pretoria.
L’unanimité s’est dégagée sur un fait lors de la présentation, au cours d’une séance plénière tenue mardi 17 octobre 2017 à l’hémicycle Idriss Ndélé Moussa de Midrand en Afrique du sud sur un fait : aucun individu quel que soit ce qu’il est ne devrait être privé du droit d’avoir sa nationalité. Il s’agissait de la présentation du rapport de l’atelier sur le droit à une nationalité adopté le 9 août dernier. Pour les membres de l’institution parlementaire de l’Union africaine, le non-respect de ce principe constituerait simplement une violation de l’un des droits élémentaires de l’être humain, tel que reconnu par la Déclaration universelle des droits de l’Homme et des libertés de 1948. « Le problème de la nationalité est très important. Nul, pour quelque raison que ce soit ne saurait être privé de sa nationalit&ea...
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