Nicolas Njoh, directeur commercial de la cotonnière industrielle du Cameroun (Cicam)
En quoi consistent les changements annoncés dans la filière textile ?
Jusqu’ici, les Français étaient les principaux actionnaires de la Cotonnière industrielle du Cameroun (Cicam). Ils sont tous partis à cause de la contrefaçon et de la contrebande. Le textile n’existe pratiquement plus, même en France. Beaucoup d’Etats ont laissé ce domaine, mais l’Etat camerounais s’est dit qu’il ne pouvait pas mettre ses employés au chômage. Depuis trois ans, l’Etat a repris la Cicam en main, juste parce qu’il ne veut pas perdre son industrie qui est quand-même l’un des fleurons de développement du pays. On est désormais en train de tout revoir. Notamment en ce qui concerne le prix, la redistribution, le partenariat avec les commerçants pour que la filière textile revive.
Qu’apporte concrètement l’Etat ?
L’Etat a voulu innover, parce que le matériel de la Cicam a 52 ans. Il fallait un nouveau matériel et s’adapter au marché...
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