La coupe du Cameroun disputée le week-end dernier a été une occasion de promotion pour cette discipline en manque de notoriété.
Sur le plan technique, il y a encore du travail. Les coups sont rudimentaires. Les déplacements des épéistes sont loin d’être conventionnels. Mais la volonté et la ferveur y sont. Samedi dernier, à l’occasion des finales de la coupe du Cameroun d’escrime disputées au gymnase 500 de l’Institut national de la jeunesse et des sports (INJS), le public a pu voir à l’œuvre des athlètes d’un autre genre, dans une discipline peu connue sur le plan national. « L’escrime est un sport d’élite. Les équipements coûtent chers et la fédération n’existe que depuis 2008 », explique Marcel Amougou, président de la Fédération camerounaise d’escrime. Mais un effort a été consenti cette année afin que les finales nationales se tiennent dans les mêmes conditions que les compétitions internationales. Piste de combat, tableau électronique pour le comptage des points, tenues immaculées pour les combattants, etc. Le public a été agréablement surpris.
Sur le plan sportif, Alexandre Mbega (épée seniors messieurs), &n...
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